La « Soupe de guerre »: un simple potage consommé pendant la Guerre

Feuillette l’album de la « Soupe de Guerre »… Tends bien l’oreille pour écouter ce savoureux  dialogue en patois gaumais. On le doit à Nestor Outer.
Quels mots as-tu reconnu?  De quoi est-il question? Vérifie tes suppositions en lisant la traduction A présent posons-nous des questions Traduction Soupe et Charité en patois.pdf

Pour financer l’achat des vivres indispensables à la confection des repas, Léon Thiry a fait appel à la générosité des familles les plus aisées de la région. Il eut également l’idée de publier ce livre « Soupe de Guerre », agrémenté des dessins de Nestor Outer. Il était accompagné d’un petit album de photos montrant les distributions de soupes dans les villages gaumais.

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C’est par l’intermédiaire du CNSA que la Soupe de Guerre obtenait les vivres qui entraient dans la fabrication des repas distribués aux enfants.

Sujet: L’œuvre de la soupe.

Les repas

L’heure des repas est fixée à 11 ½ heures. En sortant de l’école, chaque enfant retourne chercher son morceau de pain. Les enfants entrent sans bruit, saluent poliment et se rendent dans une chambre bien propre. Quand on entre dans la chambre, on voit des bancs disposés en bon ordre. Des tables sont préparées. On récite à voix haute le bénédicité. La cuisinière sert à chacune une bonne portion. Personne ne souffle dans son assiette pour refroidir sa soupe. Le gourmand se fait remarquer…

Extrait d’une rédaction écrite par un petit bénéficiaire de la « Soupe de guerre » et publiée dans le recueil.

Coll. JPPaillot Illustrations de N. Outer dans la « Soupe de Guerre » Table 3 la soupe de guerre? Lu par Serge Siméon de Saint-Mard