Sitôt après la guerre, les familles des soldats  français tombés sur le sol belge le 22 août 1914  ont cherché à prendre contact avec des gens de nos villages pour retrouver la trace de leurs proches. Nombre de ces épouses, enfants, frères, sœurs et même parents sont venus se recueillir sur la tombe de leur mari, père, frère ou fils. Certains ont même pris l’habitude de revenir chaque année au moment des cérémonies de commémoration qui ont lieu à la fin du mois d’août.  Aujourd’hui, ce sont les arrière petits-fils, filles, neveux ou nièces qui perpétuent le souvenir de leurs aïeux.

A qui doit-on cette aquarelle? Qui sont      ces enfants? #top #top Table1 Copy.Musée Gaumais B-Virton Qui écrit cette lettre? Que cherche son auteur? Qui est M. Jacquemin? Lettre mise à disposition par J. Dauphin

Dès la fin de la guerre, les familles françaises qui ont perdu un fils, un frère, un mari lors des combats du 22 août prennent contact avec des gens de la région pour essayer de retrouver la tombe de l’être cher sur laquelle ils pourront se recueillir.

D’où vient-il? Lors des dernières commémorations,  celles du Centenaire, de nombreux Français ont fait le déplacement  à Ethe, Latour ou Gomery pour  se recueillir la tombe d’un grand-père ou d’un arrière-grand oncle.